L’accès à l’emploi constitue l’un des droits fondamentaux des personnes vivant avec un handicap, le travail constituant un moyen de réalisation personnelle. La mission de nos ESAT est d’offrir des possibilités d’activités diverses à caractère professionnel mais aussi un soutien médico-social visant l’autonomie et l’implication dans la vie sociale.

En 1976, le CAT Aquitaine Meubles ouvre ses portes sur le secteur Dacquois. Au fil des années, il diversifie ses activités professionnelles. Son nom évolue avec cette diversification.

Les activités des ESAT sont diversifiées et scindées en trois pôles :

• Les activités dites « extérieures » (espaces-verts, petits travaux, pose de clôtures).
• Les activités de menuiserie, sous-traitance, restauration, repassage, vernis, routage, sur site.
• Les prestations de services (nettoyage des locaux) et mises à disposition (individuelles ou collectives).

Les ESAT contribuent au développement des compétences des travailleurs porteurs d’un handicap. Ils sont supports d’apprentissages professionnels (savoir-faire) mais également sociaux (savoir-être).
Notre volonté est de proposer aux personnes que nous accompagnons la meilleure prestation possible pour leur permettre d’être des acteurs à part entière de leur identité sociale.

En ESAT, l’ouverture sur l’extérieur peut se faire de différentes façons. Depuis un simple stage de découverte jusqu’à l’embauche en milieu ordinaire de travail en passant par les stages en entreprises.

De nombreuses possibilités de «mise à disposition» au sein d’une entreprise sont proposées :

• Une « mise à disposition individuelle » pour laquelle l’ouvrier concerné a l’autonomie nécessaire pour travailler sans encadrement spécifique.
• Un « détachement collectif » avec une équipe de quatre à huit ouvriers, encadrée par un moniteur d’atelier qui interviennent au sein d’une entreprise pour prendre en compte une phase de production.

La double activité « milieu protégé » et « milieu ordinaire » est désormais possible, ce qui constitue une véritable passerelle entre les deux secteurs.

L’ouverture sur l’environnement socio-économique vise bien un « décloisonnement » des parcours en vue d’optimiser l’autonomie et les capacités de responsabilisation des personnes accompagnées.